02209nlm0 22002171i 450 001001300000006001900013007001500032008004100047020001800088040000800106100004700114245021300161260001200374260003000386300001100416520119900427856009301626856009601719856009601815856008001911HARMA 204523m g0 d cr mn ---auama250224c go d fre  a9782336424378 bfre0 aJean Francis Gabana, David Mokam, Mamadou aLa carte nationale d’identité et l’identification des citoyens - Cameroun : une pratique administrative mal en point (1960-2024)bCameroun : une pratique administrative mal en point (1960-2024) -  aParis : bEditions L'Harmattan a148 p. aAu Cameroun, l’identification, qui correspond à une logique d’encartement et de reconnaissance juridique des citoyens par l’État, se concrétise en 1960 par l’établissement de la première carte d’identité expressément appelée « Carte d’identité officielle de l’État du Cameroun ».<br>Cette première carte était en carton et son contenu écrit à la main. Ce modèle présentait ainsi des<br>caractéristiques susceptibles de se détériorer et d’être modifiées. Pour faire face à ces failles, une réforme a consisté, dans un premier temps, dès 1999, à mettre sur pied un système d’identification basé sur des techniques informatiques au travers de la diffusion de la « carte d’identité informatisée » et, dans un second temps, en 2015, à adopter l’identification biométrique.<br>Toutefois, l’encartement des citoyens, qui a été institué pour identifier les Camerounais, sécuriser leur identité, servir les intérêts de l’État et des citoyens et protéger la nationalité camerounaise, est faillible et entraîne jusqu’ici un certain nombre de problèmes auxquels il importe d’apporter des solutions.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336424378r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364243782Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/downloadepub/97823364243782Télécharger le livre au format epub40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364243782Lire ce livre en ligne