01808nlm0 22002051i 450 001001300000006001900013007001500032008004100047020001800088040000800106100003700114245010600151260001200257260003000269300001100299520102300310856009301333856009601426856008001522HARMA 204873m g0 d cr mn ---auama241222c go d fre  a9782336411255 bfre0 aRémi Hess, Suzanne Chazan-Gillig aLa société sakalava - La mémoire et l’oubli 2002-2022bLa mémoire et l’oubli 2002-2022 -  aParis : bEditions L'Harmattan a400 p. aUn demi-siècle après l’indépendance nationale, la société sakalava de Madagascar voit évoluer sur un même microterritoire (Belo et Tsiribihina) deux formations sociales.  <br>La première, urbanisée, réduit les Fitampoha, cultes des reliques royales, à une forme étatique et théâtralisée de l’intégration nationale. Dans la seconde, rurale, la jeune génération qui n’a connu ni la royauté ni la colonisation et de jeunes devins s’opposent aux anciens et inventent un langage de contestation du fihavanana à travers des rituels d’inversion.  <br>Selon l’interprétation de l’auteure — de retour sur son terrain cinquante ans après une première mission — les symboliques cérémonielles, simultanément conservatrices du modèle des rapports institués entre royauté et autochtonie, reposent sur la négation de l’origine extérieure du pouvoir (les marchés) et intérieure (locaux ou nationaux) dans le contexte actuel de globalisation des normes.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336411255r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364112552Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364112552Lire ce livre en ligne