01478nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001500087040000800102100004900110245006300159260001200222260003000234300001100264520073700275856009001012856009301102856007701195HARMA 16174m g0 d cr mn ---auama240518c go d fre  a2747544729 bfre0 aLucie Touya - Préface de Bogumil Jewsiewicki aMami Wata la Sirène et les peintres populaires de Kinshasa aParis : bEditions L'Harmattan a222 p. aMami Wata, moter water: la mère des eaux, la sirène, la déesse hybride, femme-poisson apparue et vénérée en Afrique au moment de la rencontre entre Blancs colonisateurs et Noirs bientôt colonisés. Objet d'un culte qui se répand bientôt dans toute l'Afrique occidentale et centrale, elle devient la déesse préférée des "femmes libres" des villes africaines post-coloniales, fait l'objet de rites propitiatoires, de magie noire et de sorcellerie, mais est aussi source d'espérance en une vie meilleure. Symbole de ces femmes libres qui effraient et fascinent, elle devient au Congo-Zaïre, à l'époque Mobutu et avec la montée du sida, l'un des thèmes dominants de l'art populaire congolais.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/2747544729r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/27475447292Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/27475447292Lire ce livre en ligne