02028nlm0 22002531i 450 001001300000010001600013100003900029101000600068102000600074105001600080135001600096200012900112210002400241215000900265230002300274301001600297305005900313330099100372336007501363700001601438856009301454856011701547856011001664HARMA 219827a9782806139085a20250814d2025 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaHenri Bertin et les échanges de porcelaines entre la France et la Chine au 18e siècleb[Ressource électronique]fChao-ying LeeaPariscAcademiad2025a166 p.a[Données textuelles]a9782806139078aVersion électronique de l'édition papier : 9782806139078aCet ouvrage rassemble plusieurs communications présentées en France et à Taïwan, consacrées aux échanges de porcelaines entre la Chine et la France au XVIIIᵉ siècle. Il explore l’émergence du goût pour la chinoiserie néoclassique et le rôle central du cabinet chinois de Henri Bertin (1720–1792) dans sa diffusion. Deux pièces issues de ce cabinet sont analysées : un portrait de l’empereur Kienlong peint par le frère Panzi, artiste jésuite à la cour impériale, qui inspira une plaque en céramique et des biscuits à la manufacture de Sèvres ; puis un plateau à thé fondé sur les tableaux impériaux de labourage et tissage, transformé par Louis-François Lécot en une scène à narration européenne, utilisant pâte dure et dorures. Ces objets incarnent un dialogue artistique et politique entre les deux cours. En retour, des porcelaines de Sèvres furent envoyées en Chine, où l’empereur Kienlong fit créer un atelier chargé d’imiter les styles européens.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaChao-ying Lee40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782806139078r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782806139078zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782806139078zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne