02106nlm0 22002531i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200006800111210004100179215000900220230002300229301001600252305005900268330109600327336007501423700003401498856009301532856011701625856011001742HARMA 79389a9782336444239a20240514d2024 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaTokbarb[Ressource électronique]fMichel Cassir, Patrick QuillieraPariscEditions L'Harmattand2024a110 p.a[Données textuelles]a9782336444222aVersion électronique de l'édition papier : 9782336444222aTokbar, musicien post-bartokien, sourcier, chamane, est aussi un poète post-pessoen. À la question « qu’attendre de la poésie ? », il semble limiter la réponse à « la foudre ou le silence ». Les exemples ne manquent pas de poètes foudroyés par leur génie ou retirés pour toujours dans le silence. L’alternative est dépassée par l’insertion d’un troisième terme : « qu’attendre de la poésie ? » : « rien ». Voilà l’humilité. Mais Michel Cassir décline ainsi ce troisième terme : « rien//l’inconnu ». Et voilà l’ambition. Ne rien attendre de la poésie, c’est rester ouvert, et disponible à ce que l’on ne connaît pas, et qui, incessamment, peut toujours nous surprendre. Le poète doit traverser l’épreuve fascinante du principe d’incertitude, se mettre en mouvement ascensionnel au cœur même des ténèbres pour amorcer l’élévation. Cette « mélopée ancienne » qu’on appelle poésie est un « cahier de route », elle « a de longs bras pour s’emparer des miettes d’infini. »<br>Patrick QuillieraType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaMichel Cassir, Patrick Quillier40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336444222r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782336444222zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782336444222zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne