01720nlm0 22002531i 450 001001000000010001600010100003900026101000600065102000600071105001600077135001600093200014100109210003700250215000900287230002300296301001300319305005600332330065100388336007501039700004101114856009001155856011401245856010701359HARMA 521a9782296375802a20240519d1998 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaVieillir et mourir au XVIIIe siècle - Longévité et vie sociale à Haveluyb[Ressource électronique]fGuy Tassin - Préface de Michel VovelleaPariscEditions L\'Harmattand1998a288 p.a[Données textuelles]a2738472273aVersion électronique de l'édition papier : 2738472273aLongtemps, les familles ont connu de nombreux décès précoces. Quand enfin meurent moins de jeunes, la vie change. C'est parce que la mort est moins insistante dans sa tyrannie que l'on peut mettre moins d'enfants au monde. Quand la durée de la vie augmente, le regard sur l'âge peut aussi changer. Le souci de la santé est plus marqué, le désarroi devant la mort de l'autre mieux exprimé. La meilleure longévité, en particulier des femmes, fait subsister plus de vieux couples. Le vieillard est ainsi moins souvent isolé et la vie conjugale, carrière au plus long cours, y gagne en complicité. L'amour colore le deuil.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaGuy Tassin - Préface de Michel Vovelle40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/2738472273r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/2738472273zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/2738472273zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne