02006nlm0 22002051i 450 001001300000006001900013007001500032008004100047020001800088040000800106100001700114245009500131260001200226260003000238300001100268520125200279856009301531856009601624856008001720HARMA 210025m g0 d cr mn ---auama241204c go d fre  a9782336471037 bfre0 aMichel Jamet aÀ l’oeuvre - La toile au risque de la peinturebLa toile au risque de la peinture -  aParis : bEditions L'Harmattan a110 p. aOn est toujours tributaire du temps de l’art. Il est donc légitime de se demander quel genre de peinture on entend pratiquer. Celle-ci doit-elle avoir pour objet ses constituants ou ce qu’ils permettent de réaliser ? Si l’on tranche du côté du second terme, quel sens peut-on donner au « motif » cher aux impressionnistes ? Est-ce un objet du monde ou une émotion particulière ? Cela posé, on peut en venir à la double entreprise projetée, contemporaine par l’accent qu’elle met sur l’écriture à côté de la peinture : écrire et peindre dans le même mouvement.<br>Carnet du peintre et pinceau ou couteau chemineront ensemble de la facilité des premiers pas à l’échec surmonté par un brusque<em> insight </em>réorganisant le champ pictural et ouvrant plus largement sur les vicissitudes du travail créateur. Avant d’en venir à quelques questions couronnant le projet : le plus difficile n’est pas, peut-on croire, de peindre, mais de savoir pourquoi l’on peint. Plusieurs motivations peuvent y présider, dont la première est le désir de reconnaissance. Mais d’être reconnu comme quoi ? Parce que l’on enrichit le monde (au lieu de le détruire), mais de quoi ?40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336471037r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364710372Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364710372Lire ce livre en ligne