01815nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100002000113245006500133260001200198260003000210300001100240520108900251856009301340856009601433856008001529HARMA 68513m g0 d cr mn ---auama241125c go d fre  a9782343228440 bfre0 aVincent Metzger aDe l'interruption dans l'aphorisme et l'essai aParis : bEditions L'Harmattan a136 p. aCet ouvrage s'intéresse à ce qui fait une oeuvre Mais dans ce vaste domaine, il entre par une porte latérale. On se demande souvent comment, par où commence une oeuvre, ou bien comment et par où elle s'achève. Mais que faire des pauses, intervalles, silences, blancs, interruptions ou des arrêts définitifs ou provisoires ? Sont-ils étrangers, comme des arrêts de l'oeuvre, ou intérieurs, des arrêts <em>dans</em> l'oeuvre ? Il faut d'abord interroger ceux qui ont pour règle ou pour habitude de s'arrêter vite, ceux qui, dit Georges Perros, "écrivent court" ; ceux-là bien souvent interrompent un texte qui se serait volontiers poursuivi sans annoncer de fin. Avec ceux qui, au contraire, "écrivent long", tout se passe comme si les textes étaient souvent sur le point de s'interrompre, et que l'arrêt se trouvait reporté. Sont ainsi présentés des auteurs qui ont écrit, notamment, des notes, des fragments ou des aphorismes, Perros, Cioran, Reverdy, puis trois auteurs d'essais, Malraux, Bataille, Aragon.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343228440r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823432284402Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823432284402Lire ce livre en ligne