02192nlm0 22002051i 450 001001300000006001900013007001500032008004100047020001800088040000800106100001600114245016700130260001200297260003000309300001100339520136700350856009301717856009601810856008001906HARMA 211237m g0 d cr mn ---auama250205c go d fre  a9782336507675 bfre0 aMax Vincent aFaut-il brûler Lewis Carroll ? - Une contre-histoire de l’évolution des « bonnes moeurs »bUne contre-histoire de l’évolution des « bonnes moeurs » -  aParis : bEditions L'Harmattan a272 p. aCe qu’on a appelé « libération sexuelle » au siècle dernier se trouve aujourd’hui de plus en plus remis en cause par des groupes de pression, des associations, des personnalités influentes, qui arguent de la nécessité de lutter conséquemment contre la pédocriminalité, l’inceste, les agressions sexuelles, voire le sexisme, pour liquider peu ou prou tout ce qui dans le domaine sexuel relèverait selon eux de l’indéfendable, de l’inadmissible et du criminalisable.  <br>Le caractère idéologique du dernier état de cette doctrine se trouvant exprimé dans le rapport fin 2023 de la CIIVISE 1 à travers la récusation de la triade « réalité psychique », « vérité judiciaire », « majorité sexuelle ».  <br>Parallèlement, derrière l’affichage du combat contre « les violences et offenses faites aux femmes », le discours qui entend le corroborer s’inscrit également en faux contre cette même « libération sexuelle » pour condamner, proscrire ou encore censurer toute expression littéraire ou artistique censée l’illustrer ou s’y rapporter.  <br>Cet essai entend reposer la question de l’émancipation, et celle d’une nécessaire « critique unitaire » (sociale) contre tout ce qui voudrait se substituer à elle (à l’instar de la tendance critiquée dans cet ouvrage).40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336507675r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823365076752Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823365076752Lire ce livre en ligne