02049nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100001800113245004200131260001200173260003000185300001100215520134800226856009301574856009601667856008001763HARMA 79933m g0 d cr mn ---auama241205c go d fre  a9782336434995 bfre0 aDaniel Sartor aLa fabrique de la violence au travail aParis : bEditions L'Harmattan a204 p. aQuels sont les objectifs du marché et du néolibéralisme pour impacter aussi violemment la sphère politique et sociale de l’État, des institutions, des entreprises et de leurs organisations du travail ?<br>Si la souffrance au travail a débuté après l’industrialisation de XVII<sup>e</sup> et XVIII<sup>e</sup> siècle, elle s’est généralisée avec le travail répétitif sous contrainte de temps du taylorisme, mais, comme le dit Christophe Dejours, cela ne rendait pas fou.<br>C’est dans les années  1980 que de nouvelles organisations du travail apparaissent en même temps que le néolibéralisme. Elles s’attaquent directement à la santé psychique des travailleurs. En cause, la financiarisation des entreprises opérant un tournant gestionnaire. À l’aide de techniques de management pathogènes comme l’évaluation individualisée et la qualité totale, le travail vivant se transforme en travail mort et les travailleurs se précarisent, contraints à l’isolement et à la peur du chômage.<br>La psychodynamique du travail s’est attachée à étudier les effets délétères de ces organisations sur l’Homme en inversant la question « qu’est-ce qui rend malade ? » en « qu’est-ce qui fait tenir ? »40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336434995r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364349952Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364349952Lire ce livre en ligne