02028nlm0 22002171i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100002000113245013600133260001200269260003000281300001100311520112300322856009301445856009601538856009601634856008001730HARMA 80236m g0 d cr mn ---auama241221c go d fre  a9782336450421 bfre0 aPaul G. Aclinou aLe premier festival mondial des arts nègres - Ou la négritude cinquante-cinq ans aprèsbOu la négritude cinquante-cinq ans après -  aParis : bEditions L'Harmattan a216 p. a« Nous voici donc dans l’histoire ! » Telle est la proclamation par laquelle Malraux débuta son discours à Dakar en 1966 lors du colloque qui préluda au festival FESMAN 1. Il ajouta : « Ce que nous tentons aujourd’hui ressemble aux premiers conciles... »<br>C’est une réflexion sur les questions qui étaient alors en débat et sur leurs origines. Une réflexion qui cherche à savoir ce que sont devenues, six décennies plus tard, les préconisations de l’époque pour ces problématiques. L’invitation est faite à partir des idées qui prévalaient à l’époque en Afrique Noire, au sein d’une population en effervescence face à l’avenir des nouveaux États qui venaient d’accéder à leur indépendance.  <br>Elle se fait également à partir de l’examen rétrospectif de quatre discours qui furent produits à Dakar en 1966. Il s’agit de ceux de Machado, le représentant de l’Unesco ; de Senghor, président du Sénégal ; d’André Malraux, ministre français de la culture et enfin, d’Aimé Césaire, écrivain et homme politique français.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336450421r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364504212Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/downloadepub/97823364504212Télécharger le livre au format epub40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364504212Lire ce livre en ligne