01658nlm0 22001931i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001500087040000800102245002400110260001200134260002600146300001100172520102100183856009001204856009301294856007701387HARMA 16748m g0 d cr mn ---auama241224c go d fre  a273842998X bfre aLe sacré en Eurasie aParis : bEditions L\'Harmattan a220 p. aL'ambiguïté de la notion de sacré en Eurasie apparaît dès qu'on cherche à en connaître le vécu ; alors la définition savante qui privilégie l'idée de ce qui est séparé, s'applique avec des restrictions, tant aux objets, qu'aux lieux, aux temps ou aux hommes. La ligne de séparation entre le sacré et le profane est loin d'être clairement dessinée, et l'attitude de l'homme varie à son sujet. L'homme sacralise l'espace et le temps avec l'intervention de la divinité, qu'il s'agisse des sanctuaires grecs, esséniens ou bouddhistes. Depuis l'antiquité celtique, l'homme semble avoir en lui le pouvoir de vivre le sacré (dans l'unité de temps et de lieu en Dieu) et le profane (dans la durée et la parcellisation de l'Univers). Par l'action rituelle, il passe d'un état à l'autre. Le saint élu, modèle humain de la divinité, reçoit de droit le pouvoir de gouverner les corps et les âmes des hommes pour le bien de tous.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/273842998Xr.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/273842998X2Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/273842998X2Lire ce livre en ligne