01959nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100002000113245003600133260001200169260003000181300001100211520126200222856009301484856009601577856008001673HARMA 72936m g0 d cr mn ---auama241124c go d fre  a9782343251417 bfre0 aPierre Duroisin aMontherlant et l'Antiquité aParis : bEditions L'Harmattan a714 p. aLe 21 septembre 1972, Henry de Montherlant quittait la scène de son plein gré : la « sortie raisonnable » du Portique. S'il appela ses ombres, comme il s'était promis de faire, à cet instant choisi, elles furent sans doute plus romaines que grecques : sensible, dans son jeune âge, au discours de Socrate et de Platon, l'écrivain s'était de plus en plus « romanisé » au fil des ans. Avec des nuances, il est vrai. Montherlant avait une vision nietzschéenne de la Grèce : il a renié Platon, mais il a continué d'invoquer Hésiode, Héraclite, Eschyle... Et son attirance pour Rome, héritée du Quo Vadis de son enfance, ne l'a pas empêché d'être parfois sévère avec les Romains. Cela dit, les Anciens chez lui n'étaient jamais bien loin, y compris là où on ne les attendait guère : Épictète dans <em>Les Lépreuses</em>, Sénèque dans <em>Le Maître de Santiago</em>, Tacite dans<em> La Ville</em> dont le prince est un enfant, et on en passe. André-Alain Morello a qualié Montherlant de « grand écrivain intempestif ». Cette version revue, corrigée, ampliée de Montherlant et l'Antiquité est un hommage sans complaisance aux mânes d'un acionado « intempestif » du monde ancien.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343251417r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823432514172Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823432514172Lire ce livre en ligne