01927nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100002900113245016600142260001200308260003000320300001100350520109100361856009301452856009601545856008001641HARMA 70804m g0 d cr mn ---auama240423c go d fre  a9782343236520 bfre0 aSiméon Clotaire Mintoume aMorale et religion chez Kant et Levinas - Exposé critique de la culture de l'autonomie humainebExposé critique de la culture de l'autonomie humaine -  aParis : bEditions L'Harmattan a134 p. aCette réflexion a été suscitée par le mouvement évangélique et le terrorisme islamique qui dominent l'actualité africaine. Les abus commis par les promoteurs des églises dites de réveil et les atrocités commises par les terroristes peuvent-ils être justifiés par la religion ? Du point de vue de Kant, l'obligation morale est a priori, elle est originelle et universelle. Par conséquent, c'est par rapport à elle que doivent être interprétées les révélations des religions historiques : elles ne peuvent donc rien prescrire qui soit contraire à la morale. Emmanuel Levinas situe lui aussi la relation à Dieu dans la morale, mais il ne partage pas la conception kantienne de la moralité de l'acte humain. Kant fait de l'universalité le canon de l'appréciation morale de nos actions. Selon Levinas, le vis-à-vis du juste, ce n'est pas une loi universelle. C'est toujours à un visage qu'il faut rendre justice : la moralité est la réponse à l'appel qui me vient du visage de l'autre homme qui me rappelle à mes obligations et me juge.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343236520r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823432365202Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823432365202Lire ce livre en ligne