02104nlm0 22002171i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100001900113245004300132260001200175260003000187300001100217520129300228856009301521856009601614856009601710856008001806HARMA 80780m g0 d cr mn ---auama241227c go d fre  a9782336462592 bfre0 aGérard Buttoud aNapoléon et l'Algérie 1802 - 1808 aParis : bEditions L'Harmattan a196 p. aSous la Révolution puis sous l’Empire, la régence d’Alger reste l’un des seuls alliés de la France, qui doit faire face à la coalition des nations européennes. Bonaparte reproche à ce curieux ami de ne pas le considérer à sa juste valeur, c’est-à-dire au plus haut, et prend prétexte de récentes prises corsaires de bateaux italiens pour menacer le dey d’envahir sa ville. En 1802 d’abord. Puis en 1808, lorsqu’un plan d’attaque détaillé est même établi. <br><br>Pour après ne rien faire, comme tout le monde avant lui. Pour ne pas dégarnir les fronts guerriers d’Europe, dit-on. Peut-être que le rêve oriental de Napoléon de passer en Inde par l’Egypte implique qu’on s’approvisionne en blé algérien, et donc qu’on fasse la paix avec les Barbaresques. Peut-être aussi qu’il n’y a tout simplement rien à gagner à y aller. Avec Alger, le mieux est de s’accommoder de relations difficiles, pour être plus sûr d’en écarter les Anglais. Avant que la France ne l’envahisse en 1830 en se servant justement du plan d’attaque de l’Empire, l’Algérie reste un allié ambigu et encombrant, mais qu’il vaut encore mieux supporter qu’essayer de battre.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336462592r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364625922Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/downloadepub/97823364625922Télécharger le livre au format epub40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364625922Lire ce livre en ligne