01883nlm0 22002171i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100001700113245009400130260001200224260003000236300001100266520102300277856009301300856009601393856009601489856008001585HARMA 72097m g0 d cr mn ---auama241127c go d fre  a9782343248288 bfre0 aPaul Mazliak aSébastien Vaillant, Charles Darwin et la difficile découverte de la sexualité des plantes aParis : bEditions L'Harmattan a186 p. aContrairement aux espèces animales où les deux sexes sont généralement séparés, 95 % des plantes à fleurs sont hermaphrodites. Dans l'Antiquité, les plantes étaient souvent tenues pour asexuées. Au XVIIe siècle, les organes génitaux des plantes furent reconnus, notamment par Sébastien Vaillant dans son <em>Discours sur la structure des fleurs</em> (1717). Darwin montra que les fécondations croisées des plantes hermaphrodites, entre fleurs différentes, étaient beaucoup plus productives en graines que les autofécondations au sein d'une même fleur. D'où l'hypothèse d'ancêtres monosexués fusionnant pour donner les plantes hermaphrodites. Aux XIXe et XXe siècles, les microscopistes découvrirent la double-fécondation des ovules des pistils par les anthérozoïdes du pollen des étamines. Au XXe siècle, le séquençage de l'ADN des pièces florales permit de comprendre leur nature et leur position. L'ADN des chromosomes sexuels des plantes dioïques a aussi été séquencé.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343248288r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823432482882Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/downloadepub/97823432482882Télécharger le livre au format epub40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823432482882Lire ce livre en ligne