02119nlm0 22002531i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200010600111210004100217215000900258230002300267301001600290305005900306330108700365336007501452700001801527856009301545856011701638856011001755HARMA 68513a9782140174605a20241125d2021 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaDe l'interruption dans l'aphorisme et l'essaib[Ressource électronique]fVincent MetzgeraPariscEditions L'Harmattand2021a136 p.a[Données textuelles]a9782343228440aVersion électronique de l'édition papier : 9782343228440aCet ouvrage s'intéresse à ce qui fait une oeuvre Mais dans ce vaste domaine, il entre par une porte latérale. On se demande souvent comment, par où commence une oeuvre, ou bien comment et par où elle s'achève. Mais que faire des pauses, intervalles, silences, blancs, interruptions ou des arrêts définitifs ou provisoires ? Sont-ils étrangers, comme des arrêts de l'oeuvre, ou intérieurs, des arrêts <em>dans</em> l'oeuvre ? Il faut d'abord interroger ceux qui ont pour règle ou pour habitude de s'arrêter vite, ceux qui, dit Georges Perros, "écrivent court" ; ceux-là bien souvent interrompent un texte qui se serait volontiers poursuivi sans annoncer de fin. Avec ceux qui, au contraire, "écrivent long", tout se passe comme si les textes étaient souvent sur le point de s'interrompre, et que l'arrêt se trouvait reporté. Sont ainsi présentés des auteurs qui ont écrit, notamment, des notes, des fragments ou des aphorismes, Perros, Cioran, Reverdy, puis trois auteurs d'essais, Malraux, Bataille, Aragon.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaVincent Metzger40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343228440r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782343228440zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782343228440zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne