02153nlm0 22002531i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200015800111210003200269215000900301230002300310301001600333305005900349330108000408336007501488700001601563856009301579856011701672856011001789HARMA 70140a9782140181085a20240425d2021 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaLe mémorial de Peter Eisenman à Berlin - Lecture architecturale et philosophique selon Adorno, Derrida et Habermasb[Ressource électronique]fEric ValentinaPariscL'Harmattand2021a184 p.a[Données textuelles]a9782343233437aVersion électronique de l'édition papier : 9782343233437aLa dimension artistique du mémorial de Peter Eisenman a été peu considérée. À la croisée de l'architecture et de la sculpture, il convient d'étudier sa dimension urbaine et de relever son identité comme monument <em>in situ</em>. Les réflexions du philosophe Derrida sur le déconstructivisme architectural, notamment de Libeskind, sont capitales. Comme le dit Habermas, son défenseur majeur, le monument s'adresse aux descendants allemands des bourreaux. Cet ouvrage propose une lecture adornienne du mémorial qui dépend de l'art abstrait et de sa <em>métexis</em> aux ténèbres. Le mutisme du mémorial implique une réflexion sur les questions de l'infigurable et de l'ineffable concernant la Shoah. Si le sens de l'oeuvre semble être absent, cela peut s'expliquer par la déclaration de Ruth Klüger, selon laquelle l'extermination des Juifs par les nazis est un non-sens absolu. Le monument invite à ouvrir le champ de la mémoire et contient un avertissement : l'autodestruction de l'espèce humaine.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaEric Valentin40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782343233437r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782343233437zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782343233437zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne