01808nlm0 22002531i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200013300111210004100244215000900285230002300294301001300317305005600330330073500386336007501121700004701196856009001243856011401333856010701447HARMA 16174a9782296322974a20241223d2004 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaMami Wata la Sirène et les peintres populaires de Kinshasab[Ressource électronique]fLucie Touya - Préface de Bogumil JewsiewickiaPariscEditions L'Harmattand2004a222 p.a[Données textuelles]a2747544729aVersion électronique de l'édition papier : 2747544729aMami Wata, moter water: la mère des eaux, la sirène, la déesse hybride, femme-poisson apparue et vénérée en Afrique au moment de la rencontre entre Blancs colonisateurs et Noirs bientôt colonisés. Objet d'un culte qui se répand bientôt dans toute l'Afrique occidentale et centrale, elle devient la déesse préférée des "femmes libres" des villes africaines post-coloniales, fait l'objet de rites propitiatoires, de magie noire et de sorcellerie, mais est aussi source d'espérance en une vie meilleure. Symbole de ces femmes libres qui effraient et fascinent, elle devient au Congo-Zaïre, à l'époque Mobutu et avec la montée du sida, l'un des thèmes dominants de l'art populaire congolais.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaLucie Touya - Préface de Bogumil Jewsiewicki40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/2747544729r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/2747544729zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/2747544729zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne