02185nlm0 22002411i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200010300111210003700214230002300251301001300274305005600287330118100343336007501524700003301599856009001632856011401722856010701836HARMA 14034a9782296317130a20241222d1996 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaSaint-John Perse - Les années de formationb[Ressource électronique]fTextes réunis par Jack CorzaniaPariscEditions L\'Harmattand1996a[Données textuelles]a2738441270aVersion électronique de l'édition papier : 2738441270aAlexis Leger ne fut pas tendre envers Bordeaux : sa correspondance témoigne de jugements fort critiques sur le quartier qu'il y habitait, jeune homme ; le poète Saint-John Perse ne le fut pas davantage : maintes allusions transcrivent, au fil de l'oeuvre, l'image peu reluisante qu'il en gardait. Si les Pyrénées, Pau, la côte basque finirent par trouver quelque grâce aux yeux de l'adolescent, Bordeaux resta la ville-repoussoir, celle qui servait essentiellement de faire-valoir au rêve guadeloupéen. Elle symbolisa en effet, pour le jeune Créole, l'exil et la chute, la rupture avec le royaume de l'enfance. Loin de faire silence sur ce séjour aquitain d'Alexis Leger, il convenait d'en souligner l'importance majeure. N'en déplaise à un poète qui a toujours prétendu se dissimuler sous le Masque d'Or de la poésie, qui a toujours rêvé d'une création pure qui n'entacherait aucun vécu, Saint-John Perse doit forcément beaucoup à Alexis Leger. Ne serait-ce que par les difficultés qu'il rencontra à Bordeaux, par les dégoûts qu'il y éprouva, le poète est forcément quelque part redevable à la vilaType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaTextes réunis par Jack Corzani40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/2738441270r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/2738441270zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/2738441270zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne